CALEMBERT Jean, Le mal-aimé (BitBook, 2022)

Le roman retrace les trajets de vie contrastés d’un petit cercle familial. Retraité, Lionel Dupond s’ennuie à Liège avec Amanda. Il s’évade en contemplant la Meuse de son triplex et en se remémorant sa relation passionnée avec sa première épouse, Jenny. Peu après la naissance de leur bébé, le corps de Jenny a été retrouvé caché dans une malle et Lionel ne s’est jamais remis de cette disparition tragique. Il évite de parler de Jenny à leur fils, Guy, et se confie peu à Myriam, Jean-Philippe et Thelma, les trois enfants issus de son remariage… jusqu’au jour où Lionel est victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC).
Cet accident va tout changer. De rebondissement en rebondissement, les membres du clan vont se remettre en question dans des visions parallèles de la même réalité, telles les pièces éparses d’un gigantesque puzzle dont on ne découvre la solution qu’au dénouement final.

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Description

L’AUTEUR. Jean Calembert est né à Liège en août 1942. Il vit aujourd’hui entre Bruxelles et Laborel (Drôme Provençale). Docteur en droit, expert en marketing, il a  travaillé dans des multinationales et des PME familiales avant de créer sa propre société à Anvers. Il a parcouru le monde avant de se lancer dans la littérature à 77 ans.
Il a écrit son premier roman Joe Hartfield, l’homme qui voulait tuer Donald Trump entre août 2019 et janvier 2020. Il vient de terminer son second roman Le mal-aimé. Ces deux récits où s’entremêlent joyeusement réalité et fiction lui ont permis de plonger au plus profond de lui-même.
On le voit bien attablé devant la porte de sa maison, son laptop devant lui, un verre de Gigondas tout proche, se plonger dans ses souvenirs et son imagination. Ses romans aident les lecteurs à éclairer leur vie…

Jean a vécu pas mal de choses extraordinaires sur lequel il est resté très discret mais qui constituent le terreau de ses écrits. Écrits enrichis par des distorsions volontaires de la réalité et l’intrusion moins contrôlée de rêves et de fantasmes. Jeune primo-écrivain de 80 ans, hédoniste tranquille, cycliste infatigable, grand-père heureux, il vit une deuxième vie grâce à l’écriture.
Joe Hartfield et Le mal-aimé l’ont aidé à se voir de l’intérieur, à éclairer son passé d’une lumière tantôt vive et intense, tantôt douce et paisible.
Dans Joe Hartfield, Jean s’était fait plaisir, sans contraintes. Il avait laissé libre cours à sa créativité et à son improvisation dans une saga foisonnante, étalée sur plus de 60 ans.
Son second roman, Le Mal-Aimé est un formidable défi où il s’est astreint à trois règles : moins de personnages, un univers-temps plus court et une histoire tout simple (une chronique familiale) enrichie par un mystère qui tient les lecteurs en haleine jusqu’à la fin. C’est écrit avec beaucoup d’humour et d’une plume sobre et alerte, en phrases souvent courtes, avec des images précises ponctuées par des références musicales qui accrochent (le jazz, la musique baroque, Charles Trenet, Léo Ferré, Glenn Gould ou Thelonious Monk). Il s’est concentré sur une poignée de personnages, attachants à la fois par leur aptitude au bonheur et par leurs failles. On les découvre ou redécouvre petit à petit. L’ensemble du livre forme un cycle : le dernier paragraphe du dénouement se retrouve dans le prologue et invite le lecteur à relire le récit avec des yeux différents.

L’EDITEUR. Le patron, Bruno Depover, vient d’avoir 44 ans. Après des  études sur l’histoire de l’art et le journalisme, il a été correspondant de presse, reporter, porte-parole dans un ministère puis cadre dans une société d’éditions avant de créer en octobre 2017 BITBOOK. Il a construit BITBOOK sur ses coups de coeur dont certains parleront plus particulièrement aux lecteurs de Jean Calembert : Luc Deflo (auteur de formidables polars enfin traduits en français), Filip Keymeulen (avec Alhambra, une plongée dans le monde des sans-abris bientôt portée à l’écran par Lieven Van Baelen) ou Christian De Coninck (avec Ce jour-là Bruxelles a pleuré, le récit des attentats de 2016 vécu en direct par le commissaire chargé d’informer la presse des événements).
Jean Calembert et Bruno vivent tous deux à Boitsfort, dans le ‘Coin du Balai’ et aiment son côté ville-village, sa forêt, sa qualité de vie et son héritage culturel.
Bruno a apprécié Joe Hartfield. Il a lu Le mal-aimé : “Dès la première page, une ambiance générale paisible porte le lecteur et l’imprègne de l’atmosphère chère à l’auteur. Un mystère principal et des fils d’intrigue secondaires entremêlés donnent immédiatement envie de découvrir la suite du récit et relancent l’intérêt en permanence. Le suspense à la fin est la cerise sur le gâteau. Ce roman donne envie de faire un feu de bois, de profiter de la nature, de faire du vélo, d’écrire, de manger entre amis, bref le retour à l’essentiel ! »
Bruno a décidé d’en faire son produit phare pour la prochaine rentrée littéraire … “Il y a cinq ans, j’ai lancé l’auteur flamand à succès Luc Deflo à Bruxelles, en Wallonie et même en France et en Suisse grâce à un réseau de libraires passionnés. Ce réseau est dans les starting blocks pour faire du livre Le Mal-Aimé un livre bien aimé … de Bruxelles à Tahiti en passant par Paris et Lausanne. Un livre est le plus court chemin vers l’éternité !”

Informations complémentaires

Editeur

BitBook.be

EAN

9789464077155

wallonica.org

https://wallonica.org/blog/2021/12/23/calembert-joe-hartfield-lhomme-qui-voulait-tuer-donald-trump-2020/

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